Les sites de Casino à travers le monde

Si en France les paris sportifs et le PMU sont omniprésents sur le web, qu’en est-il des jeux de casino ? Et au niveau mondial, comment ça se passe dans les grandes lignes ?

La France n’autorise pas les jeux de hasard ?

Aussi étrange que cela puisse paraître, la loi a été faite dans le but de protéger les consommateurs de toute tentative de jouer de manière compulsive. Pour ce faire, les députés ont voté en 2011 des articles de loi qui interdisent les jeux d’argent liés au hasard. Le poker, ainsi que les paris sportifs sont de l’avis des régulateurs français du jeu des activités qui font appel à la stratégie, et où le résultat final peut être connu sans que la chance puisse y intervenir de manière aléatoire.

Les casinos de France restent donc les seuls lieux où l’on peut jouer aux machines à sous et à des jeux du tapis vert sur le sol Français.

Quelles lois en Europe et au Canada ?

Les sites de Casino à travers le monde

L’ère du monde digital domine l’industrie du casino dans de nombreuses régions et pays. Les grands gagnants des nouvelles habitudes et exigences des fans de casino profitent aux pays qui se sont ouverts au sens large du terme à cette « nouvelle industrie » des jeux d’argent en ligne.

Il existe aujourd’hui trois pays qui se sont imposés : Malte, le Kahnawake et Gibraltar. Ces trois pays ou micro-états ont réussi à s’imposer dans ce secteur car ils autorisent l’exploitation de sites de casino. On peut penser que ces trois pays ne représentent pas grand chose en termes de volumes d’affaire… mais il en est tout autre.

Pour en mesurer la portée, il faut savoir que ces trois « juridictions » autorisent une ouverture à l’international. Pour citer un exemple, le Kahnawake (situé au Québec, mais gardant son autonomie vis-à-vis de l’État grâce à une sorte de souveraineté indienne vis-à-vis de l’empire colonialiste des blancs…) compte à ce jour plus d’une centaine de sites de casino sous licence. Les plus populaires sont listés sur le site Canadien GreatCasino.online sur la page des casinos en ligne du Canada. Ces casinos virtuels génèrent des volumes d’affaires considérables, et engendrent des revenus permanents aux entreprises d’État du Kahnawake (des taxes et des frais de licences sont perçus aux exploitants des casinos virtuels).

Et Malte et Gibraltar ? Le principe est le même que celui des Indiens du Kahnawake, sauf que les deux États européens se limitent au marché européen uniquement. Malte reste la référence avec des grands noms des jeux et des paris en ligne. Unibet, Bwin, Betway et Ladbrokes, pour ne citer qu’eux, y ont leurs quartiers généraux. Gibraltar (territoire Anglais), par contre, à tendance à disparaitre du paysage, surtout depuis que le Royaume-Uni a fait le choix de sortir de la CEE…

Le Canada : un pionnier devenu leader mondial

Les premières plateformes Web de jeux de casino ont vu le jour au … Kahnawake. C’est en 1994, sous l’impulsion d’un groupe d’investisseurs Anglais, que l’idée est venue de faire appel aux Amérindiens du Québec. La souveraineté de « l’État Indien » et son statut qui l’autorise à exploiter des casinos ont suffit a rapidement mettre sur pied le premier casino virtuel de l’histoire. Le succès ne s’est pas fait attendre, et en quelques années seulement le Kahnawake est devenu une référence mondiale.

Le sérieux des dirigeants des activités liées aux jeux d’argent de cette région a contribué à la notoriété des casinos en ligne indiens, qui en pratique sont des sites de jeux d’argent qui se hissent à une échelle mondiale. Lorsqu’on voit par exemple un site comme Zodiac Casino, on peut rapidement comprendre le succès des casinos canadiens. Après enquête, ce site compterait plus d’un million de nouveaux joueurs chaque année (sources : forums et sites d’audit comme GreatCasino.online et Askgamblers.com).

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